Applications
- 8.000.6009Détermination de lanthanides par chromatographie ionique utilisant la conductivité sans suppression et la détection UV/VIS
La détermination chromatographique simultanée de traces de lanthanides a pu être réalisée en utilisant, soit la détection de conductivité directe sans suppression, soit en utilisant la détection UV/VIS, après réaction post-colonne (PCR) avec l'arsenazo III à 655 nm. La détection de conductivité dans des conditions isocratiques a pu être effectuée en un temps d'analyse total d'approximativement 70 minutes. En revanche, la détermination des lanthanides par élution avec gradient et détection spectrophotométrique successive des complexes arsenazo III-lanthanide(III) a pu être réalisée en 22 minutes. En plus du temps d'analyse remarquable, la détection UV/VIS excelle de par ses sélectivité et sensitivité exceptionnelles et ne souffre pas d'interférences par l'omniprésence d'impuretés non-lanthanides, telles que le fer(III) ou autres métaux de transition. Pour les deux détections, de conductivité et de spectrophotométrique, l'utilisation d'étapes de préconcentration d'échantillons a permis de réduire la limite de détection (LOD) au niveau de la gamme des sub-ppb.
- 8.000.6028Détermination d'ultratraces d'uranium(VI) dans l'eau potable par adsorptive stripping voltammetry selon DIN 38406-17
Une méthode basée sur la technique AdCSV (adsorptive cathodic stripping voltammetry) a été développée pour permettre la détermination de traces d'uranium(VI) dans des échantillons d'eau potable, en utilisant l'acide chloranilique (CAA). La présence de composés de matrice différents (KNO3, Cl-, Cu2+, organiques) peut compromettre la détermination du complexe uranium-CAA. Les interférences peuvent cependant être minimisées en sélectionnant les paramètres voltampérométriques adéquats. Dans les échantillons d'eau problématiques, une détermination d'uranium dans le domaine inférieur des µg/L est réalisable et dans les échantillons d'eau légèrement pollués, l'uranium peut être déterminé jusque dans la gamme des ng/L, valeur comparable aux déterminations effectuées par les méthodes ICP-MS courantes.
- AB-036Les potentiels de demi-vague des ions métalliques pour la détermination par polarographie
Les potentiels de demi-vague ou de pic de 90 ions métalliques sont répertoriés dans les tableaus ci-après. Les potentiels de demi-vague (exprimés en volt) sont mesurés à l'électrode à goutte de mercure tombante (DME) à 25 °C, sauf indications contraires.
- AB-223Détermination entièrement automatique de l'uranium
Ce bulletin décrit la détermination entièrement automatique de l'uranium par la méthode de Davies et Gray : l'uranium(VI) est réduit en uranium(IV) dans une solution d'acide phosphorique concentrée avec du fer(II). Avec le molybdène comme catalyseur, le fer(II) en excès est oxydé avec l'acide nitrique. L'acide nitrique qui se forme est détruit par l'acide sulfamique avant que l'uranium(IV) ne soit titré avec une solution de dichromate de potassium en présence d'un catalyseur de vanadium.
- AB-266Détermination du titane par voltampérométrie inverse d'adsorption
Cet Application Bulletin décrit la détermination du titane par voltampérométrie inverse d'adsorption (AdSV) en utilisant l'acide mandélique comme agent complexant. Cette méthode convient à l'analyse des eaux souterraines, des eaux potables, des eaux de mer, des eaux de surface et des eaux de refroidissement dans lesquelles la concentration de titane est importante. Elle peut également être utilisée pour les analyses de traces dans d'autres matrices.La limite de sensibilité est de l'ordre de 0,5 μg/L.
- AB-430Détermination de l'urianum par voltampérométrie inverse d'adsorption selon la norme DIN 38406-17
Ce bulletin d'application décrit les méthodes de détermination de l'urianum par voltampérométrie inverse d'adsorption (AdSV) conformément à la norme DIN 38406 partie 17. Cette méthode convient à l'analyse des eaux souterraines, des eaux potables, des eaux de mer, des eaux de surface et des eaux de refroidissement dans lesquelles la concentration d'uranium est importante. Elle peut également être utilisée pour les analyses de traces dans d'autres matrices. L'uranium est déterminé sous la forme d'un complexe d'acide cloranilique. La limite de sensibilité est de l'ordre de 50 ng/L dans les échantillons à faible teneur en chlorure et de l'ordre de 1 µg/L dans l'eau de mer. Les matrices présentant une forte teneur en chlorure peuvent être seulement analysées après réduction de la concentration de chlorure par un échangeur d'ions chargé en sulfate.
- AN-C-098Lanthanides par chromatographie ionique utilisant la détection de conductivité sans suppression
Détermination de traces de lutétium, ytterbium, thulium, erbium, terbium, gadolinium, samarium, néodyme, praséodyme, cérium et lanthane utilisant la chromatographie cationique avec détection de conductivité directe.
- AN-C-099Lanthanides dans un échantillon de pierre par chromatographie ionique utilisant la détection de conductivité sans suppression
Détermination de traces de gadolinium, samarium, néodyme, cérium et lanthane utilisant la chromatographie cationique avec détection de conductivité directe et la filtration «inline» de Metrohm.
- AN-C-106Lanthanides par chromatographie ionique avec dérivatisation post-colonne et détection UV/VIS
Détermination des traces de lutétium, ytterbium, thulium, erbium, terbium, gadolinium, samarium, néodyme, praséodyme, cérium et lanthane en utilisant la chromatographie cationique avec élution de gradient et détection UV/VIS après dérivatisation post-colonne avec Arsenazo III.
- AN-T-149Détermination du thorium par titrage photométrique automatique
Le thorium est titré avec l'EDTA à un pH de 4,9. De l'orange de xylénol est utilisé comme indicateur pour visualiser le point d'équivalence. Le point d'équivalence est déterminé avec l'Optrode à une longueur d'onde de 574 nm.